degeu leu goor, je m'apelles Alou Niang; et je suis un talibè de
Cheikh Moussa Tourè, le lion conquèrant de Darou, lui meme talibè de cheikh
Moussa Cissè Ndiamè Darou '' Yalla na yalla yok lèram.
Cheikh est comme tu l'appeles le docteur des ames, c un guide
spirituel au vrai sens du termes car il a su éduquer spirituellement les
Hommes, en leur faisant acceder dans l'enceinte divine.
dieuredieuf Ndiamè Darou
Commentaire de ibrahima diagne (30/12/2007 22:01) :
amoul sik moi s'est ibrahima digne je suis un talibé de baye modou
gueye.wakhe degue yalla cheikh moussa moye borome diamak diamono ci lou
amoul sik guisse yalla diak diakhareune ake séy betou bopou diéré
dieufeté cheikh moussa .
Commentaire de yakhady (05/01/2009 00:42) :
guiss yalla n'est non seulement voir le non ALLAH mais aussi chacun
doit parvenir a comprendre la forceinterieure ki anime au sein de lui
mème.c yakhady ndiaye fille se mame cheikhou ndiaye GAINDè PASSOIR. mon
email dykha170@yahoo.
je me nome mohamed diouf j'habite a keur massar.je suis un talibè de
cheikh souleymane niane.sante mame moussa bou wère car mo gnou dèfe li gnou
done.ndamale goor dale guiss yalla.
Né à GAYA, El-Hadji Malick Sy séjourne en Mauritanie, s'installe à Saint-Louis en 1884, puis à Louga, et Pire avant de s'établir à Tivaouane en 1902 à la suite d'une demande, dit-on, du grand notable Djibril Guèye qui l'invita à y rester.
Maodo Malick Sy a beaucoup contribué, en Afrique noire, à la propagation de l'islam et de la confrérie soufie de Abou al-Abbas Ahmed at-Tijani. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont le célèbre Qilâsu thahab, « l'or décanté ».
C'est à Tivaouane que Maodo Malick Sy a été inhumé après son rappel à Allah le 27 juin 1922. Sa succession à la tête de la tariqa Tidjane est assurée par son deuxième fils Seydi Ababacar Sy pour le khalifat général des Tidjanes de 1922 à 1957. Son successeur fut El-Hadji Abdou Aziz Sy qui fut rappelé à Dieu le 14 septembre 1997, remplacé par l'actuel khalife, Serigne Mansour Sy: « Borom daaraji .
Un des signes distinctifs par lesquels on identifie le croyant véritable est la résignation devant les arrêts divins, si cruels puissent-ils paraître. Ainsi, lorsque le 13 juillet 1945, Serigne Mamadou Moustapha fut ravi à l'affection de la Communauté Mouride, ce fut avec une douleur, indicible certes mais avec une totale soumission à la volonté de Dieu que le pays tout entier vécut l'événement. Son frère cadet (de six mois), Serigne Mouhamadou Fadilou fut porté au Khalifat car la flamme allumée par Khadimou Rassoul ne saurait vaciller. Celui là, dont le souvenir est perpétué par ses nombreux homonymes connus sous les prénoms de Gallas, de Fallou ou de Fadel, allait marquer son temps.. Tout en cet homme exceptionnel que nous appelons affectueusement et respectueusement Serigne Fallou ou El Hadji Fallou, porte les stigmates d'une sainteté incontestable. D'abord sa naissance qui eut lieu en 1888 à Darou Salam. En effet Serigne Fallou vit le jour exactement la vingt septième nuit du mois lunaire de Rajab. (ndeyi koor dans le calendrier local), C'est la date anniversaire du voyage nocturne du Prophète (en compagnie de l'Ange Gabriel) dont il ramena le rituel des cinq prières, si fondamental en Islam. Le Magal du Kazu Rajab qui marque son anniversaire est un événement très connu, où se pressent des centaines de milliers de talibés fervents. Ensuite la réaction du Cheikh quand il fut informé de cette naissance. Il aurait alors vivement exprimé sa gratitude à Dieu en concluant que si ce nouveau n'était pas apparu dans sa famille, il se serait mis à sa recherche pour aller le retrouver, où qu'il puisse être. Enfin le pèlerinage qu'il accomplit à La Mecque. Les circonstances de ce séjour en terre arabe furent telles qu'il eut beaucoup de peine à rentrer à TOUBA : les gens de La Mecque ne voulaient plus s'en séparer, ayant découvert en lui une érudition et une sainteté exceptionnelles. Déjà, tout enfant, Serigne Fallou avait commencé à se signaler comme un être d'exception. Sa mère Soxna Awa BOUSSO appartient à une famille d'érudits qui a donné plusieurs imams à TOUBA C'est avec une aisance surprenante que dès l'âge de huit ans, il se mit à l'apprentissage du Coran, sous la férule de. Serigne Ndame Abdourahmane LO au daara dénommé Aalimun Xabiir, à environ cinq kilomètres de Touba. Son oncle paternel Serigne Mame Mor Diarra lui servit de professeur dans l'étude de la Théologie. Sa formation dans les Sciences Religieuses fut complétée par le Cheikh lui-même, à son retour d'exil. Précisons qu'une bonne partie de cette formation eut lieu en Mauritanie, à Saout El Maa (Khomack), où le Cheikh avait été déporté et où le rejoignit Serigne Fallou en compagnie de Serigne Mamadou Moustapha et de Serigne Mor Rokhaya BOUSSO.
Le plus en vue dans l'organisation mouride, c'est certainement Cheickh Ibrahima Fall. Descendant de la grande dynastie des anciens 'damels 'du Cayor(roi du Sénégal des royaumes). Préposé à l'organisation pratique et aux travaux les plus difficiles(défrichage et culture des champs, collecte du bois de chauffe, construction des concessions, transport des récoltes, etc.)Le fondateur de la branche des 'baye Fall ', une des principales composantes du mouridisme, s'est donné corps et âme au service de celui qui fut son seul et unique maître.
L'union entre Cheickh Ibra Fall et Khadimou Rassoul aurait été scellé loin des yeux, des coeurs et des esprits. Après avoir fait ses humanités dans son village natal(Ndiaby). Il devint un érudit de l'Islam passait ses journées sous un lourd tamarinier situé dans la forêt du cayor. Ce lieu de recueillement, le saint homme en interdisait l'accès au-delà du couché du soleil parce que disait- il : ' ce lieu fréquenté par des esprits maléfiques' Son adoration pour DIEU et sa retraite volontaire loin des hommes et des choses mondaines, avaient valu à Cheickh Ibra d'être considéré comme sujet à des troubles mentaux. Aussi proposait-on à son père de l'éloigner d'autant plus que le jeune Ibrahima Fall, était doté d'une telle puissance physique qu'on craignait toujours le pire.
Par la suite Cheickh Ibra Fall s'en alla un jour à la recherche de celui qui devait être plus tard son maître. De nombreuses péripéties ont marqué cette longue recherche, jusqu'au jour ou la rencontre eu lieu. Les chercheurs et autres conférenciers notent d'ailleurs beaucoup de similitudes avec le jour ou Seydina Omar Ben Kateb venait acte d'allégeance auprès du Prophète Mohamed(pst)comme 40e disciple. Ce jour là à Mbacké Bari, Khadimou Rassoul aussi était en était encore à ses 39 talibés et Cheickh Ibra Fall était le 40e.
Par son action et son enseignement, les Baye Fall sont devenus les bras utiles du Mouridisme. A la disparition de Serigne Touba en 1927, Cheickh Ibra a étonné tous ceux qui attendaient de sa part des scènes d'hystérie. C'est plutôt avec beaucoup de philosophie que et de pondération que Cheickh Ibra accueilli la nouvelle. Aujourd'hui c'est son petit fils Serigne Moudou Aminta Fall, qui occupe le khalifat, après les passages très remarqués de Serigne Moustapha Fall(1930-50), Serigne Mor Talla Fall(1950-54), Serigne Abdoulaye Fall Ndar, Chérif Assane Fall et Serigne Abdou Sakor. Cheickh Ibra compte de nombreux enfants dont l'aîné Serigne Falilou Fall, mort durant la première guerre mondiale où il s'était engagé sur instruction de Khadimou Rassoul.
Après avoir plusieurs fois refusé de prendre son autonomie , Cheickh Ibra Fall finit par s'installer à Touba Fall et consacrait plus tard de nombreux autres Cheickh. Il fur rappelé à DIEU le 9 juin 1930 à l'âge de 72 ans, après avoir aidé à asseoir le khalifat de Serigne Mouhamadou Moustapha Mbacké, fils aîné de Serigne Touba.
Avant toute chose, il faut modifier le terme "pélerinage à Kaolack" car Cheikh Ibrahim Niasse (r) n'a jamais évoqué ce terme car pour lui le Péleringe est uniquement à La Mecque, à Médine et à Jérusalem. Le reste n'est qu'une visite pieuse (ziarrah) que ce soit à Fes, Kaolack ou autre. (Note d'un Mouqadem de Cheikh Ibrahim Niasse (r)) Cheikh Ibrahim (r) est né en 1900 à Taiba Niassène près de Kaolack et il est le seul parmi les fils de Cheikh 'Abdallah Niasse le grand (r) à être né au Sénégal. En effet les autres naquirent en Gambie.
Sa mère, Sokhna Astou Diankha, aurait eu un rêve lorsqu'elle était enceinte, dont l'objet était la délivrance du futur Cheikh al-Islam. Elle en parla à son mari qui lui dit de n'en parler à personne. En effet Cheikh Ibrahima fut le grand don qu'Allah nous a donné à une époque difficile, une époque qui verra la disparition du Califat mondial de la Oumma Ottoman, c'est une époque qui verra les deux guerres mondiales, les idéologies communistes, nazies et fascistes, bref l'époque des extrêmes, l'émergence de l'anti-soufisme, la franc-maçonnerie, le sionisme, la crise économique mondiale et surtout la difficulté de trouver un initiateur spirituel honnête et orthodoxe ayant l'illumination pour abreuver les assoiffés, les sincères vers la Connaissance d'Allah. Il est vrai qu'il y avait les grands 'arifins tel que El Hadj Malik, Abdoullah Niasse ou Cheikh Ahmad Bamba (r) jusqu'en 1922 mais ceux ci n'eurent guère le temps et les dispositions nécessaires pour initier les gens à la profondeur du soufisme, préoccupés et missionnés à préserver les bases islamiques en territoires occupés.
bééguéé baye fall. ni la déé ndakh yonou YA ALAHOU mome goor moy diap si
goor léép dokh.... comme nignou ko yonantiyi missalé rék.....en plus
''NIAR NIOU BOOK LI NIOU BEUGUE BOK LINIOU WAAKH!!!''
SANTE CHEIKH MOUSSA......
wawe yalla na diamyi diarignou si xam xam bi .guiss yalla diak dieukh reun
dieuredieuf cheikh moussa diamrama cheikh mouhamadou lamine gueye djaraw
lak fallou kaita
mane talibe fallou kaita la
imame malick moy sama mak
Commentaire de zale yalla yalla (10/12/2007 17:31) :
guiss yalla xam yalla degue yalla frome to ndiambe borome darou home
guiss dieuh run et abo voila mon mail envoi moi tou les tofs de borom darou
zalelegran@hotmail.com
Commentaire de ousmane (13/01/2008 18:15) :
man la ousmane talibe baye gueye kou téde ki té bakh lol cherif est mon
diewrine .guiss yalla lou woor la .baye bi mo gnou ray si mawoul kheybi
mawoul khayabe mawoul kawsara dekil gnou si lailahailaalahou ma ngi cédé né
kou doundou ba dé guissoul yalla sou déwé sou gnou borom bi douma ko mangi
bégé goor yalla yép di lén magal .baye gueye dognou rée dougne la rér
mbégoum diam yép yawa .cherif magal na la bou wér
Commentaire de ouz-ibou@live.fr (29/01/2008 17:53) :
man la souleymane beugue yalla mi dara tewul di bégué cheikh bi sante goor
yalla-yi di magal cherif bou wer mangi ci yoon wii ngir amé rassouli lahi
rafét lolou ninga gnou boté.bégé na gnép ak wa daraa-dji.diadieuf baye
gueye
Commentaire de ouz-ibou@live.fr (29/01/2008 17:53) :
man la souleymane beugue yalla mi dara tewul di bégué cheikh bi sante goor
yalla-yi di magal cherif bou wer mangi ci yoon wii ngir amé rassouli lahi
rafét lolou ninga gnou boté.bégé na gnép ak wa daraa-dji.diadieuf baye
gueye